samedi 25 avril 2015

Dans les foins et les bistrots






Voici quelques photos qui datent de mars dernier lorsqu'on est allé tourner un film (court-métrage) avec les copains (et les profs, ok) à l'UEA de Norwich. On y a séjourné une semaine. Nos journées étaient partagées entre le tournage, la prise de vue, la prise du son. Nous y étions du matin jusqu'en fin d'après-midi, puis nous mettions en commun tout le matériel après le repas, en discutant de ce qui devait être gardé, et de comment organiser la journée d'après. 




ZIGGURAT !


C'était bien. Je remercie Caroline, Claire, Gaël et Thomas, on a vraiment réussi à travailler ensemble et à passer des bons moments (et à boire des coups le soir - tous les soirs - et la Saint-Patrick - ouiii), et nos professeurs. Les Anglais et les Anglaises qu'on a rencontré étaient tous très chaleureux, marrants, francs, accueillants. L'UEA est une université anglaise,  un campus, je n'avais jamais vu de campus, c'est une ville miniature, tout est là, poste, banque, librairie, restaurant, appart, etc. Mais j'en retiens une sensation bizarre parce-que nous flottions comme au milieu d'une jeunesse dorée (internationale).

C'est un décalage, on navigue dans deux eaux, on navigue dans deux fleuves différents. Le bar des étudiants ressemblaient au bar d'un bateau croisière (d'où la métaphore maritime de la phrase précédente) . Je ne sais pas forcément quoi retenir. Seulement, ça m'a remis à l'esprit que pendant que je m'inquiète pour le prix de mon logement, de ma nourriture, mes frais de tous les jours, certains n'ont à s'inquiéter de rien, et n'auront jamais à s'inquiéter de rien.

J'ai été absente du blog pendant de longues semaines, dû notamment à une avalanche d'obligations qui vont avec mon diplôme qui arrive à grand pas (c'était nul comme période d'ailleurs)(mais tout va bien se passer).  Je reprends maintenant du service, parce-que ça me fait plaisir, parce-que j'aime partager et montrer ce que je fais, et parce-qu'il y a des potes qui m'encouragent.





Cet article était teinté d'une note cuisante de froissement (surtout vers la fin)


À BIENTOT

HARICOT

À RICCO



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